Qu’il soit entendu que les pathologies que nous listerons dans ce chapitre peuvent avoir bien d’autres origines (biologiques, systémiques) qu’un trouble ou un déséquilibre psychoaffectif. L’avertissement clairement énoncé dans l’article « Hypnose et douleurs » reste, ici, plus que jamais, d’actualité ; à savoir qu’il ne saurait être question, pour un hypnothérapeute qui se respecte, de prendre en charge un patient pour le traitement d’une maladie sans avoir la certitude que, préalablement, l’ensemble des examens médicaux ait été dument réalisé, qu’un diagnostic médical ait été posé, et que les traitements soient respectés.
Moyennant quoi, le corps médical, dans sa très grande majorité, défend aujourd’hui l’idée que certaines pathologies puisent tout ou partie de leurs symptômes dans une origine psychologique. Ou, tout du moins, que la psyché du patient impacte de manière certaine sur l’amplification ou la pérennité de certaines maladies. C’est à cet endroit précis que va intervenir le psychothérapeute.
Sans, bien sûr, pouvoir être exhaustif, les motifs les plus courants de consultations sont :
- Les allergies
- Certaines maladies de peau (eczéma, verrues, etc.)
- L’asthme
- Les colopathies fonctionnelles
- Certains dysfonctionnements sexuels (stérilité, impuissance, sècheresse vaginale, etc.)
- Le manque de vitalité (fatigue, apathie, etc).
